Avec modestie et sans aucun protocole, le comédien, producteur et acteur de cinéma, Mourad Khan, est un passionné du petit et du grand écran.Le “number one” des caméras cachées livre son analyse sur la télévision actuelle à Alger 16 et évoque ses projets futurs.
Entretien réalisé par Ammour Ryad

En cette année 2024, les téléspectateurs algériens attendent Mourad Khan. Quels sont vos projets pour les jours avenirs ?
J’ai réalisé un film historique intitulé Mohamed Belouizdad, dont la projection est prévue pour le mois de ramadan sur EPTV, ainsi qu’une série humoristique comique sous le titre de “Ziyar Rohak”, qui sera diffusée également par la chaine de télévision nationale. Mon troisieme projet est un autre feuilleton intitulé “Ness El-Batima”, toujours sur EPTV.
Le ministre de la Communication a insisté sur la nécessité d’un travail professionnel pour ce qui est des programmes télévisés pour le mois sacré. Votre impression sur cette décision ?
Je vois que c’est une bonne initiative de la part du ministre. Aujourd’hui, il faut produire un contenu professionnel, loin des travaux ridicules. Je souhaite de tout mon coeur que cette directive sera appliquée dans tous les domaines.
Comment adaptez-vous vos projets pour respecter le mois sacré ?
Depuis mes débuts, je me fais toujours de mon mieux pour produire un bon travail, familial et respectable. J’essaye de réaliser un produit qui puisse s’inviter dans toutes les familles algériennes, Il faut, par ailleurs, plaire à Dieu le Tout-Puissant et aux familles algériennes ensuite.
Entre les caméras cachées et les feuilletons, où se situe Mourad Khan ?
A propos de cette question, je me retrouve plus au cinéma. Parce que j’ai débuté dans le cinéma. J’espère que l’industrie cinématographique sera plus présente dans le futur et qu’elle se développera davantage.
Le dernier mot vous revient…
Premièrement, je vous remercie. Ensuite, je souhaite que les programmes, en ce ramadan 2024, soient d’un haut niveau et que la concurrence soit présente, et inch’Allah que chacun de nous ait une conscience vivante pour communiquer de la joie aux familles algériennes.
A. R.