Dr. Nadir Garboussi, Président de la commission consultative pour la protection du consommateur et la promotion de l’investissement, à Alger16: «Le chef de l’état a, une fois de plus, tenu ses engagements envers le consommateur»»

Dans un contexte économique en constante évolution, la protection du consommateur et la promotion d’un environnement propice à l’investissement sont des enjeux cruciaux pour le développement durable de notre pays. C’est dans cette optique que la commission consultative pour la protection du consommateur et la promotion de l’investissement (CCPCPI) œuvre sans relâche pour garantir un cadre juste et équitable.
Alger16 a eu l’honneur d’échanger avec Dr. Nadir Garboussi, président de la CCPCPI, pour discuter des initiatives entreprises, des défis à relever et des perspectives d’avenir concernant la protection des droits des consommateurs et l’attractivité de l’investissement en Algérie.

Entretien réalisé par G. Salah Eddine

Quelle est la vision stratégique de votre commission en matière de protection du consommateur ?
La vision stratégique de la commission consultative pour la protection du consommateur et la promotion de l’investissement s’articule autour de trois axes fondamentaux : un axe consultatif, un axe dédié à la protection du consommateur et un troisième consacré à la promotion de l’investissement. Il s’agit d’un concept innovant, conçu en Algérie, dans une logique entièrement nationale.
Ce modèle repose sur une approche intégrée : en cas de dysfonctionnements, notamment en matière de protection du consommateur, nous activons le levier de la promotion de l’investissement. L’objectif est clair : éviter que le consommateur algérien ne se retrouve confronté à des pénuries ou à des failles dans l’offre de biens et services. C’est dans ce contexte que la notion d’«autorité consultative» prend tout son sens, dans la mesure où elle intervient dans une pluralité de domaines : tourisme, transport, industrie, agriculture et commerce.

Comment s’effectue cette consultation ?
Nous offrons une consultation gratuite aussi bien au consommateur algérien qu’à l’investisseur national, afin de leur fournir les outils nécessaires pour comprendre les dynamiques de consommation et les risques d’exploitation. Ce service est donc accessible aux deux parties : le citoyen et l’entrepreneur.
Nous menons des études ciblées sur le comportement et les besoins du consommateur algérien afin de guider les investisseurs vers des projets pertinents. Par exemple, nous encourageons l’investissement dans le secteur du transport lorsque nous constatons un besoin criant de diversification du parc automobile — notamment en termes de nombre de bus ou de véhicules — afin de répondre de manière concrète aux exigences de la société. Ce travail de terrain permet d’instaurer une relation gagnant-gagnant entre les consommateurs et les investisseurs.
Notre volet consultatif couvre également des domaines tels que la santé, la mobilité, ainsi que l’évaluation de la fiabilité et de la transparence des institutions.

Un exemple…
Prenons le cas d’un citoyen qui envisage de se rendre dans une agence de voyages mais qui exprime des doutes quant à sa crédibilité. Même si les soupçons sont minimes, il peut se tourner vers notre autorité. En tant qu’acteur à vocation sociale, nous prenons en charge les vérifications nécessaires, en contactant les parties concernées, afin d’évaluer la légitimité de l’agence et de lui faciliter ainsi une prise de décision éclairée.

Est-ce que les citoyens algériens sont suffisamment informés de leurs droits en tant que consommateurs ?
Depuis 2017, le consommateur algérien a atteint le niveau ou il n’hésite pas à se plaindre aux autorités de la qualité des produits qu’il consomme. On commence enfin à exprimer nos préoccupations. Heureusement, ils nous contactent et nous consultent. Les réseaux sociaux ont grandement contribué à cette évolution, tout comme l’amélioration des services.

On remarque en effet cela, mais n’empêche qu’énormément d’arnaques se font aujourd’hui sur les marchés en ligne. Pensez-vous que la majorité des citoyens algériens disposent aujourd’hui de la maturité nécessaire pour exploiter pleinement les nouveaux outils numériques ?
La réalité montre que bon nombre de nos concitoyens n’ont pas encore intégré l’usage réfléchi de ces technologies. Ce phénomène s’explique notamment par un déficit de maturité numérique et par une certaine forme de réticence culturelle face à ces transformations. À cela s’ajoute un usage d’Internet encore limité, souvent réduit à la consommation passive, sans valorisation des ressources interactives disponibles.
Je ne vous apprends rien en disant que le niveau d’instruction, la culture et l’accès à l’information jouent un rôle déterminant dans cette dynamique. C’est pourquoi, dans notre vision pour l’Algérie de demain, nous avons prévu l’organisation de forums thématiques pour sensibiliser et former le consommateur algérien. Ces rencontres permettront de faire dialoguer le consommateur et l’investisseur, dans un cadre structuré, à travers une plateforme hybride, à la fois numérique et présentielle.
L’accès à ces rencontres sera ouvert à tous les citoyens, sans restriction, quelle que soit leur wilaya d’origine. Il ne s’agira pas d’inviter uniquement des personnes prédéterminées ou issues de cercles restreints. Nous voulons ouvrir l’espace de discussion à l’ensemble des 58 wilayas, afin de recueillir une diversité de points de vue. Le consommateur sera invité à s’exprimer librement et pourra également entrer en contact avec nous via une page officielle dédiée.

Votre avis sur les activités des organisations nationales qui opèrent pour le consommateur algérien aujourd’hui ?
Concernant les organisations de protection du consommateur, il faut être réaliste. Elles sont encore traditionnelles et n’ont pas su expliquer au consommateur que certains produits, comme la pomme de terre, sont soumis aux fluctuations saisonnières. L’État ne peut pas intervenir directement. Par exemple, si les récoltes sont faibles, les prix augmenteront.
Il est essentiel de sensibiliser le consommateur à ces réalités économiques. Certaines matières échappent à l’intervention de l’État. Enfin, je salue l’intervention rapide des forces de sécurité, qui ont permis d’instaurer le calme

En tant qu’autorité consultative pour la consommation et l’investissement, quels sont, selon-vous, les meilleurs domaines pour investir aujourd’hui en Algérie ?
En tant qu’organisme consultatif, nous observons que le consommateur algérien évolue, notamment avec la hausse de la demande pour les achats en ligne. Ce changement est soutenu par un intérêt croissant pour l’investissement numérique, qui ne nécessite pas un capital important, permettant aux jeunes d’entreprendre dans divers secteurs, tels que les vêtements ou les accessoires.
Nous encourageons cet investissement en ligne, tout en restant prudents. Le secteur du tourisme est également prometteur, avec des investissements massifs dans le futur proche de l’État. Nous assistons à une dynamique économique et à une diversification, un moment propice pour les investissements, surtout avec l’engagement du président Tebboune envers l’investissement national et international.

Le président Tebboune a toujours insisté sur l’idée de protéger le pouvoir d’achat du citoyen en gelant taxes et impôts sur certains produits alimentaires de large consommation. Un mot sur ces décisions ?
Sans complaisance, il est essentiel d’évaluer l’action publique avec objectivité. Toute initiative bénéfique mérite d’être saluée, tout manquement doit être signalé pour corriger le cap.
Dès son premier mandat, le président de la République a fait du pouvoir d’achat une priorité stratégique, amorçant une revalorisation salariale en plusieurs phases. Cette politique, poursuivie avec constance, vise à renforcer la consommation et à relancer la demande intérieure. Le président de la République est intervenu dans des secteurs stratégiques tels que le logement — notamment à travers le programme AADL —, la transition numérique, ou encore la simplification des démarches administratives. Ces réformes, souvent issues de sa connaissance profonde des rouages de l’État, traduisent une volonté claire : faire du pouvoir d’achat un pilier de sa gouvernance, tant dans son premier mandat que dans le second.
Le président de la République a clairement affiché, à travers ses orientations, sa volonté de préserver le pouvoir d’achat des citoyens. Il prête une oreille attentive à la base, notamment aux préoccupations du consommateur algérien, ce qu’il réaffirme régulièrement dans ses interventions. En tant qu’acteur économique et social, nous soutenons toute mesure visant à renforcer ce pouvoir d’achat, car plus le citoyen peut diversifier ses achats, plus cela stimule l’investissement,

D’ailleurs comment analysez-vous les différents discours présidentiels ?
En tant qu’universitaires et représentants des intérêts des consommateurs et des investisseurs algériens, nous reconnaissons dans son discours une dimension implicite mais puissante. Il ne s’agit plus simplement de commenter les prix des denrées comme la pomme de terre, mais bien d’entrer dans une démarche d’analyse globale du discours politique. Le président de la République s’exprime avec une simplicité volontaire, afin que son message soit compris par tous, quel que soit le niveau d’instruction. Cette approche claire et directe constitue une communication politique efficace, qui véhicule une vision stratégique, notamment sur le plan sécuritaire, en lien avec les mouvements de protestation citoyenne.

Les chiffres indiquent que l’Algérie a connu une croissance économique positive durant e premier mandat présidentiel, un commentaire ?
Il convient de ne pas perdre de vue le contexte général dans lequel s’inscrit le premier mandat du président de la République. En dépit des plus de trois années marquées par la pandémie mondiale de Covid-19, l’Algérie a su maintenir une relative stabilité des prix, et ce, malgré une paralysie quasi totale du commerce international. Selon plusieurs études, la circulation maritime mondiale avait chuté de plus de 60 % durant cette période.
Face à cette crise, la présidence a fait preuve d’une vision stratégique anticipative, veillant d’une part à préserver le pouvoir d’achat, et d’autre part à éviter toute pression inflationniste sur les marchés, pression qui, ailleurs, s’est avérée dévastatrice dans les secteurs clés comme l’agriculture, l’industrie ou le tourisme.
La sortie de crise s’est accompagnée d’un redéploiement rapide vers les investissements agricoles, notamment dans le Sud, avec une dynamique palpable dans les filières stratégiques telles que le blé et l’orge, où l’Algérie figure aujourd’hui parmi les premiers producteurs africains.

L’ouverture au capital productif s’est concrétisée par l’activation de l’Agence nationale de promotion de l’investissement, dans un climat d’intérêt croissant : le président a récemment annoncé que plus de 14 000 investisseurs sérieux ont exprimé leur volonté de s’implanter en Algérie. Ce chiffre constitue un signal fort et prometteur pour l’avenir du pays à l’horizon 2025–2030. Notre lecture, en tant qu’entreprise sociale, s’inscrit dans une optique de service rendu au citoyen algérien.

Quelle est votre lecture de la décision chef de l’Etat d’importer plus d’un million de têtes de bétail à l’approche de l’Aïd ? Est-ce, selon vous, une mesure conjoncturelle ou structurelle ?
Il faut saluer le courage de cette décision, véritablement audacieuse, qui répond aux besoins du citoyen algérien tout en contribuant à la préservation de son pouvoir d’achat et à l’équilibre du marché national. Contrairement à certaines affirmations erronées, cette mesure n’a nullement nui à l’élevage local. Bien au contraire, elle vise à protéger les races ovines algériennes, en évitant leur abattage massif à l’occasion de l’Aïd, et encourage leur reproduction, une démarche stratégique que nous soutenons pleinement.
Le président de la République a, une fois de plus, tenu ses engagements envers le consommateur. Le porte-parole du ministère de l’Agriculture a d’ailleurs confirmé l’ouverture de points de vente directs destinés aux citoyens, encadrés par des vétérinaires, écartant ainsi les rumeurs infondées selon lesquelles les bêtes seraient destinées à être vendues déjà abattues. Le calme est revenu sur les marchés, et d’autres cargaisons sont prévues, preuve d’un engagement présidentiel cohérent et rigoureux que nous valorisons hautement.

Pensez-vous que d’autres décisions similaires seront prises dans d’autres secteurs qui touchent le consommateur algérien ?
Absolument. Nous demeurons optimistes quant à l’adoption prochaine de mesures similaires dans plusieurs domaines. Le président Tebboune écoute ce qui se dit. Son écoute attentive de la base citoyenne laisse présager des décisions rapides et concrètes, notamment en réponse aux attentes urgentes de la population.
C’est cette capacité à répondre avec célérité aux préoccupations immédiates qui renforce la crédibilité et la transparence de son action. Il ne fait donc aucun doute que d’autres mesures suivront, car les exigences actuelles appellent des réponses immédiates.
Des marchés, tels que celui de l’agriculture, et en ce qui concerne les intermédiaires, notamment dans les marchés des moutons et du bétail, ces derniers ont enflé les prix. Ils exploitent la gentillesse du paysan algérien, qui est reconnu pour sa générosité, son honneur, sa bravoure, et ses nobles qualités. Comme nous l’avons évoqué précédemment, ces intermédiaires sont des spécialistes qui se chargent de l’achat des bêtes des agriculteurs. En effet, l’agriculteur, de son côté, se montre souvent satisfait de vendre sa marchandise sans rechercher des marges de profit élevées. Cependant, ces intermédiaires, eux, procèdent au stockage des moutons, ce qui crée une spéculation sur les prix. Ils profitent de périodes sensibles sur le marché et écoulent leurs produits à des prix excessifs.
Ainsi, un consommateur algérien, par exemple, se voit contraint d’acheter à des prix élevés, surtout à l’approche de l’Aïd el-Adha, une période empreinte de significations religieuses et spirituelles. Les familles sont souvent mises sous pression, et l’émotion prend le dessus : un père peut se retrouver à acheter à n’importe quel prix pour répondre aux attentes de ses enfants, qui pleurent.
Il est évident que, lorsque l’État algérien intervient fermement et applique la loi, tout revient à une situation plus équilibrée et naturelle. Nous avons observé que lorsque l’État prend les mesures nécessaires, les prix se stabilisent.

L’attention s’est tournée dernièrement vers le cas de la patate et des bananes, un commentaire sur l’actualité ?
C’est étonnant, surtout concernant le prix de la pomme de terre. Il faut d’abord reconnaître que ceux qui représentent les agriculteurs algériens, qui se soucient de leur pays, semblent avoir une mentalité ancienne et ne se sont pas adaptés aux évolutions de l’Algérie nouvelle. L’Algérie d’aujourd’hui a une vision moderne, bien différente de celle qu’ils avaient dans le passé.
Récemment, à Mostaganem, trois agriculteurs ont menacé de ne pas récolter la pomme de terre, ce qui aurait été une catastrophe. Heureusement, l’intervention de l’État a permis de maîtriser la situation. Aujourd’hui, le prix de la pomme de terre est de 60 dinars, et 400 quintaux ont été récoltés après plus de 72 heures, avec une gestion optimale.
Il faut rappeler que les agriculteurs sont une catégorie nationale importante, mais qu’il existe aussi des individus qui n’agissent pas dans l’intérêt général. Grâce à l’État, le prix est revenu à son niveau réel. Nous parlons souvent de l’intervention de l’État, car il n’y a pas de place pour l’émotion dans la gestion. En tant qu’organisme de protection du consommateur, nous insistons sur l’application stricte de la loi. Lorsqu’il intervient, l’État rétablit l’équilibre.

Toujours dans le sujet des spéculateurs, le secteur de l’automobile est l’un des plus touché par ce fléau. Un mot sur cela…
Merci pour cette question pertinente. Heureusement, l’État algérien, à travers ses institutions, a agi avec fermeté contre ces intermédiaires opportunistes qui ont causé de graves perturbations, brûlant littéralement « le vert et le sec » dans notre chère Algérie.
Prenons l’exemple de la marque Fiat : les véhicules sont proposés à un prix abordable pour plus de 60% de la population, ce qui constitue un espoir pour de nombreux citoyens. Or, certains spéculateurs achètent directement à l’usine, puis revendent ces voitures sur le marché parallèle à des prix exorbitants — parfois jusqu’à 60-150 millions de centimes de plus. Cela nuit gravement à l’économie nationale.
Face à cette dérive, l’État a réagi promptement : il y a à peine trois semaines, une réunion a été convoquée par le ministre de l’Industrie, rassemblant les forces de la Gendarmerie nationale, de la Police, le ministère de l’Intérieur, et même le ministre de la Justice s’est exprimé à ce sujet au Parlement. Cette coordination interinstitutionnelle a permis de mettre un coup d’arrêt net à ces pratiques.
Il ne s’agit pas de stigmatiser, mais d’agir dans le respect de la loi. Désormais, tout acheteur doit signer un engagement formel lors de l’acquisition d’un véhicule. Cette mesure vise à empêcher que des voitures sortant d’usine de se retrouvent, après seulement quinze jours, dans le circuit parallèle. C’est ce genre de dérive que l’État s’emploie à éradiquer avec rigueur et détermination.

Il est actuellement question de l’arrivée des géants de l’automobile en provenance d’Asie pour investir en Algérie, parmi lesquels Hyundai. Cette entreprise peut-elle bénéficier de l’expérience de Fiat, de Cherry etc. pour mieux prospérer sur le marché ?
C’est une excellente question, notamment en raison de la collaboration de Hyundai avec le directeur général de l’Agence nationale de promotion de l’investissement. Il est évident qu’elle tirera profit de cette expérience, et c’est un message codé, une perspective visionnaire.

Pourquoi pensez-vous que l’État est-il intervenu à ce moment précis ?
Parce que lorsqu’on investit avec Hyundai, la même législation qui a été appliquée à Fiat sera activée, ce qui permettra à la société de sortir de l’usine à son prix réel, sans modifications artificielles, et de fermer la porte aux spéculateurs. C’est là mon point de vue et ma vision prospective pour fermer totalement la porte aux intermédiaires, d’autant plus avec l’arrivée de Hyundai. On peut dire qu’un terrain propice a été préparé.

Lors de la réunion de l’AAPI avec la délégation de Hyundai, cette dernière a évoqué certaines des contraintes qu’elle peut trouver en Algérie, cette décision aurait-elle été également prise pas seulement pour Fiat mais pour s’assurer que le géant sud-coréen de l’automobile investisse en Algérie ?
En effet, c’est très possible. Cette décision encourage sans aucun doute Hyundai à investir dans le pays. En d’autres termes, après l’établissement de la base légale, l’État est intervenu. Ce message est clair : l’État veut envoyer un signal non pas seulement à Hyundai mais aux investisseurs étrangers. Il leur montre qu’il est prêt à prendre des mesures concrètes à tout moment pour faciliter leur processus d’investissement. D’ailleurs, il met à leur disposition des infrastructures immobilières pour les projets qu’ils souhaitent développer, notamment dans le secteur de l’automobile.
Ainsi, Hyundai, en entrant sur le marché, bénéficiera d’un environnement stable et bien préparé. Le consommateur algérien pourra, en l’espace de 72 heures, finaliser son achat et recevoir sa voiture sans tracas. C’est ce qu’on appelle la tranquillité d’esprit, un concept que nous, en tant qu’agence consultative pour la protection des investisseurs et des routes, cherchons à promouvoir constamment. Nous visons à instaurer un climat de calme et de sérénité, car c’est dans un environnement paisible que l’on obtient les meilleurs résultats. C’est ce que mérite l’Algérien : une relation solide et sereine, orientée vers l’avenir.

Un dernier mot ?
En tant qu’organisation jeune et prometteuse, le président de la République nous a ouvert les portes de l’engagement associatif, dans lequel nous commençons à exceller. Nous, en tant qu’organisation jeune, académique et dynamique, avec des sorties de terrain ayant un impact, nous organiserons également plusieurs visites d’usines pour sensibiliser au respect des droits du consommateur algérien. Nous établirons bientôt nos bureaux au sein de la diaspora algérienne, car notre activité est à la fois locale et internationale. Nous allons installer des bureaux en Espagne, en France, en Italie, au Qatar, en Égypte, en Tunisie, en Libye, etc. Et bien sûr, vous êtes avec nous, en tant que force médiatique. Je tiens à remercier Alger16 pour son soutien constant, et je souhaite tout le succès possible à toute votre équipe. Je vous remercie pour cet échange et je vous souhaite le meilleur.
G. S. E.

ALGER 16 DZ

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